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Monographies des villes et villages de France
Des livres de référence d'histoire locale

1643, "QUESNOY (LE)", "l'abbé Paulin Giloteaux", "1997, réimpression de l'ouvrage paru en 1960", "Format 14 X 20. 204 pages", 186, "", 4, "L'abbé Paulin Giloteaux nous entraîne dans le passé du Quesnoy avec un souci premier : « rappeler les faits les plus saillants de la vie presque millénaire de la cité, en les agrémentant de récits pittoresques ».
La « cité des Chênes » est fondée historiquement par Baudouin IV, surnommé l'Édifieur. C'est l'un des comtes Hainaut qui donnera son. Importance à la localité par sa simple présence en ses murs. Au cours du Xe siècle, Le Quesnoy bénéficie d'une vie brillante, cumulant les mariages princiers. La ville doit également affronter guerres et batailles, se partageant entre les rivalités locales et les assauts ennemis.
L'opposition entre la France et l'Angleterre épargne la commune, mais n'amoindrit pas sa sympathie envers la perfide Albion. A la mort de Marguerite de Hainaut, Le Quesnoy passe sous la domination de la maison de Bavière. De nouveau, son temps est partagé entre la magnificence des fêtes de la paix, et l'horreur de la guerre.
En juillet 1655, le tout jeune Louis XIV visite la localité, accompagné de son premier ministre Mazarin, en charge des pouvoirs effectifs. Le Quesnoy est alors ruiné par les guerres, et ne peut recevoir le monarque comme il le mériterait.
Lors de la Révolution, les persécutions religieuses n'entament pas le courage du curé, des vicaires et des professeurs du collège de la ville qui sont destitués le 27 février 1791. La paroisse est livrée alors à un prêtre assermenté de Vaucelles, Louis Lustremant.
Le XIXe siècle cumule les événements d'ordre architectural : la restauration de l'hospice des Chartrières, de l'hôte de ville et du beffroi, la démolition de la tour de l'Écritoire dont la « Plume » avait disparu depuis l'ouragan de 1768, la reconstruction du collège, de l'église paroissiale et de l'ancien dépôt de vivres, la transformation du château en caserne, la fondation dans l'hôpital d'une maison d'éducation pour jeunes filles (rue du Général Bouttieaux), etc.
L'auteur, dans un contraste saisissant, nous fait également vivre les heures douloureuses du Quesnoy durant la Seconde Guerre mondiale, et nous rapporte la comédie historique en trois tableaux de Pierrot Bimberlot, le « géant burlesque du Quesnoy ».
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