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Monographies des villes et villages de France
Des livres de référence d'histoire locale

1962, "MEILARS-CONFORT (ses monuments, son histoire) et MAHALON (une paroisse finistérienne)", "l'abbé Corentin Parcheminou", "2003, réimpression de l'ouvrage paru en 1931 et 1933", "Format 14 X 20. 178 pages", "22e", "", 4, "Irremplaçable travail que celui de l'abbé Parcheminou sur les villes et villages du Finistère et ici, plus particulièrement, sur Confort-Meilars (auparavant Meilars-Confort) et Mahalon ! Comment, sans ces documents de référence, les habitants de ces localités retrouveraient-ils tout ce qui a constitué leur passé ? Et comment, sans ces précieux sésames, les nombreux touristes connaîtraient-ils cette région, son histoire et ses monuments, seuls vestiges de ce qui a été ? D'abord le territoire de Meilars-Confort que l'auteur nous fait visiter (1 468 ha), puis l'histoire (légendaire) de saint Mélar qu'il relate avec émotion, ainsi que son culte qui s'est répandu « dans les deux Bretagnes », et les églises de Meilars, au-dessus de la vallée du Goyen, et de Confort (joli clocher ajouré haut de 32 m) qu'il décrit avec la plus grande précision. Ensuite, l'ossuaire, au bas de l'église, le calvaire (devant la façade), la chapelle de Saint-Jean et les anciens manoirs de Meilars, Kernonen, Guizec, Castellien, Lesveilars, Kervénargant ; les tumulus étant, eux aussi, répertoriés, comme les pierres taillées, et les débris (tuiles, poteries) de l'époque gallo-romaine.
La ville est naturellement évoquée, avant et pendant la Révolution (il faut « réparer les ruines accumulées »), avec les membres du clergé depuis le XVe siècle, l'école et les derniers recteurs et vicaires de Meilars. De la même manière, Mahalon, présentée dans un vaste panorama global, historique, géographique et démographique, a écrit son histoire à travers une floraison de pierre : l'église Saint-Magloire, tout d'abord, d'époque romane, mais reconstruite en partie en 1772, la chapelle Saint-Pierre du XVe siècle (joli clocheton à petite flèche bosselée au-dessus de la porte de la façade ouest), les chapelles disparues, comme celle de Saint-Tugen détruite à la Révolution, les croix et les fontaines (de Saint-Fiacre et de Saint-Vinoc), et l'aumônerie qui subsista jusqu'au XIVe siècle. Les anciens recteurs, curés et prêtres, sont recensés par l'abbé Parcheminou de 1390 à 1795, la période révolutionnaire est retracée (histoire de l'abbé Tréhot, « recteur forcené ») et les vieux manoirs sont longuement décrits (comme celui de Kerandroan).
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