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Monographies des villes et villages de France
Des livres de référence d'histoire locale

2188, "VILLENEUVE-SAINT-GEORGES (Histoire de)", "H.-V. et A. Dandrieux", "2005, réimpression de l'ouvrage paru en 1919", "Format 14 X 20. 192 pages", "24e", "", 4, "Comme toute monographie historique qui se respecte, l'ouvrage de H.-V. et A. Dandrieux, consacré à Villeneuve-Saint-Georges, est divisé en deux parties bien distinctes : la première relate les grandes périodes (personnages et événements) qui ont forgé l'histoire de la cité et la deuxième évoque Villeneuve au fil des siècles, mais au quotidien, avec son terroir et sa topographie, ses édifices et ses activités, ses pratiques religieuses et ses singularités. C'est ainsi que le livre s'ouvre (abondamment illustré) sur les temps anciens, resurgis grâce à la découverte de foyers funéraires celtes, d'instruments en pierre polie, d'armes gauloises et de pièces de monnaie romaines. L'époque médiévale est restituée à travers la charte d'affranchissement de 1249, par le passage des souverains Charles VII (en route pour la forêt de Sénart) et Louis XI qui accueillit intra-muros Jean-Baptiste des Ursins (1474) et par les luttes féodales, les croisades, les combats contre les Anglais.
Les faits de guerre furent en effet nombreux, depuis la conquête du territoire par Labienus (52 avant J.-C.) jusqu'à la Grande Guerre : 233 Villeneuvois tombés au champ d'honneur (liste nominale à la fin de l'ouvrage). Invasions successives, Ligueurs et Espagnols, Fronde des Grands, entreprises guerrières de Louis XIV, guerres révolutionnaires, napoléoniennes, franco-prussienne... Les conséquences, souvent funestes, de ces événements sur Villeneuve et ses habitants sont relatées ici, mais le second volet de l'ouvrage est tout aussi développé : recensement des congrégations propriétaires sur le terroir (Saint-Germain-des-Prés, Saint-Nicolas-du-Chardonnet...), église et chapelle (démolie en 1845) et châteaux de Beauregard, de Belleplace et de Bellevue ; sans oublier les mairies et les écoles, le commerce (des vins dès le IXe siècle) et l'industrie (verrerie, tuilerie, raffinerie de sucre), les services publics et les moyens de transport (coches de terre et d'eau, diligence et chemin de fer en 1847) ; enfin, les ponts et les portes, les inondations et les lieux-dits : comme la Pierre Fritte et l'Orme Sainte-Marie, les Petits Rouillis et les Grands Rouillis, les Îles et le Marchaix aux Loups.
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