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Monographies des villes et villages de France
Des livres de référence d'histoire locale

2608, "BERGERAC (Annales historiques de la ville de). 1233-1789", "Louis de La Roque", "2007, réimpression de l'ouvrage paru en 1891", "Format 14 X 20. 410 pages", "50e", "", 4, "Louis de La Roque, passionné par l'histoire de Bergerac au point d'être à l'origine de cet ouvrage, fruit d'un travail considérable sur les archives locales, ne se considérait pas pour autant comme un historien, mais comme « un éditeur », dont le seul mérite, selon lui, était un goût prononcé pour « l'exactitude ». C'est mû par cette exigence qu'il a établi, avec l'aide de M. Dupuy, l'ancien archiviste de la ville, ces Annales historiques de Bergerac, qui reposent essentiellement sur les textes des délibérations du Conseil de ville depuis le XIVe siècle, ainsi que sur un manuscrit anonyme dans lequel étaient relatés les faits les plus marquants qui eurent pour théâtre la cité, de 1233 à 1789. Ainsi, les lecteurs de ce début du XXIe siècle pourront suivre, au fil des pages, un itinéraire chronologique de près d'un demi-millénaire concernant la vie de Bergerac, mais aussi « tous les événements militaires, politiques et religieux de la France du Sud-Ouest ».
Ils découvriront, entre autres qu'en 1233, la ville de Bergerac, qui appartenait à Hélie de Rudel, seigneur du dit lieu, était sous la domination anglaise ; qu'en 1260, les frères prêcheurs (dominicains) s'établirent dans la cité ; qu'en 1322, une transaction, « en forme de statut », fut passée entre le seigneur de Bergerac, Renaud de Pons, le procureur et les syndics de la ville, franchises confirmées en 1327 par le roi Charles, dit Le Bel, et en 1328, par le roi d'Angleterre, Édouard III ; qu'en 1409, il fut arrêté que chaque consul qui manquerait de se trouver au consulat, au son de la cloche, sans excuse légitime, donnerait 2 sols, et chaque jurat 1 sol ; qu'en 1552, la ville devait entretenir 28 ponts, ainsi que le grand pont de Dordogne... Mais ils noteront aussi, dans un tout autre registre, qu'en 1568, « il passa dans la ville grand nombre de gens de guerre, tant de l'une que de l'autre religion » (...), que les compagnies de Montluc firent brûler le pont de Dordogne et que des feux de joie furent faits pour la prise de Maëstricht (1673), pour la victoire de Senef (1674), pour la paix signée avec la Hollande (1678) et avec le Danemark (1679)...
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