649, "LA ROQUEBROU et ses environs", "I. Calle", "1991, réimpression de l'ouvrage paru en 1912", "Format 14 X 20. 424 pages", "56e", "", 4, "La bourgade primitive de Brou n'offrait pas une sécurité suffisante à ses habitants, du fait de sa situation sur un plateau à découvert. L'enceinte fortifiée a bientôt leur préférence, ce qui ne les empêche pas de continuer à fréquenter l'église de la morte ville. Du Brou au roc : tel est l'acte de naissance de La Roquebrou. Les Arpajonnais maltraitent la région, prenant notamment un sordide plaisir à détruire les châteaux. Celui de La Roquebrou échappe à ce sort grâce à la détermination des habitants : les envahisseurs saccagent l'église mais sont arrêtés par le soulèvement de la population. Louis de Salvert, seigneur du château de Clavières, se livre avec amour à la culture de la propriété. Il connaît un bonheur sans limite. Mais le 30 juin 1727 advient un apocalyptique orage de grêle. Un jour suffit à provoquer une ruine insurmontable : l'homme met fin à ses jours quelques mois plus tard dans la grande salle du château. La camarde a fait une bonne récolte. L'abbé Soulhié n'a aucune intention de se laisser faucher. A 65 ans, soutenu par son bâton de pèlerin, il entreprend de parcourir les routes de France afin de réunir les fonds nécessaires à la reconstruction de la chapelle de Nieudan. La passion rend infatigable. |
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